Rencontre aujourd’hui avec le collectif LUTTEHSM avec mon collègue Arnaud Saint-Martin pour entendre l’histoire de leur mobilisation et examiner ensemble les pistes pour une meilleure prise en compte de la mysoginoir et une meilleure lutte contre le cyberharcélement.

84% victimes de cyberharcèlement sont des femmes, parmi elles, 58% sont racisées et subissent des formes de harcèlement spécifiques sur les réseaux sociaux. Il y a urgence à agir. Le groupe LFI-NFP a récemment obtenu la constitution d’un groupe d’étude à l’Assemblée sur le racisme et la lutte contre les discriminations, qui permettra une meilleure prise en compte de ce phénomène. 

Je salue ces femmes pour leur engagement et leur travail de sensibilisation et pour leurs propositions, dont nous nous saisirons !