
Nadège ABOMANGOLI
Vice-Présidente du Conseil départemental
de la Seine-Saint-Denis
Canton Pierrefitte-sur-Seine, Epinay-sur-Seine et Villetaneuse
Actualités
[SANTE] COVID-19 : visite du centre de vaccination anti-covid à Pierrefitte-sur-Seine
Ce matin, le centre de vaccination contre la Covid-19 a ouvert ses portes à Pierrefitte-sur-Seine au sein du Collège Gustave Courbet. J’assistais, avec mon collègue Pierre Laporte, Vice-Président délégué à la santé, à son inauguration pour témoigner de mon soutien aux...
[LOGEMENT] COVID-19 : nouvelle prolongation pour bénéficier de l’aide exceptionnelle pour le paiement des loyers (AEPL).
Vos revenus d’activité ont diminué avec la crise de la COVID-19 ? Vous utilisez une part importante de vos revenus pour payer votre loyer ? Le dispositif d’aide exceptionnelle au paiement du loyer mise en place par le Département de la Seine-Saint-Denis est prolongée...
[COVID-19] Lettre ouverte sur la situation sanitaire en Seine-Saint-Denis : nous demandons à l’État une véritable stratégie d’urgence
Avec une trentaine d’élus insoumis de la Seine-Saint-Denis, députés, vices-présidents du Conseil départemental, élus municipaux et territoriaux, nous alertons sur la situation sanitaire en Seine-Saint-Denis. Nous nous adressons dans une lettre ouverte au premier...
Vice-Présidente chargée de la politique de l’habitat, de la politique de la ville, suivi des CLSPD et des ZSP
Nadège Abomangoli
Née à Brazzaville (Congo) et ayant grandi en Seine-Saint-Denis avec ma mère femme de ménage et mes cinq frères et sœurs, mon parcours est celui d’une militante contrariée de la « promesse républicaine d’égalité ». Et c’est pour être utile à notre pays, que j’ai choisi de faire de la politique, alors que rien ne semblait m’y prédestiner.
Je fais partie d’une génération qui avait 20 ans en 1995 et qui a été confrontée, dès son arrivée sur le marché du travail, à un chômage de masse qui touchait tous les jeunes, quel que soit leur niveau d’études. Cette expérience fut à l’origine de mon engagement, notamment lors du mouvement social contre le contrat première embauche (CPE) aux côtés de proches qui avaient eux la chance d’être salariés dans la fonction publique.