Aujourd’hui, comme de nombreux citoyens et citoyennes, je me tiens au côté de notre camarade René Revol, maire de #Grabels, agressé la semaine dernière par des militants d’extrême droite. Les circonstances de son agression démontrent, s’il était besoin, la lâcheté de ces nervis : 2 hommes ont attaqué un maire âgé de 75 ans à l’abri d’une ruelle isolée. Quel courage ! Son tort ? Ne pas céder à la nécessité de lutter contre le racisme puisqu’il lui est reproché d’être « l’ami des arabes ». Pour nous ce n’est surtout pas une insulte, mais ces gens sont bas de plafond.

Chacune de ces violences d’extrême droite contre des citoyens ou des élus sont des atteintes à notre République et à son principe de fraternité. Elles prospèrent désormais dans l’indifférence coupable du gouvernement. De notre côté, jamais nous ne cesserons de dénoncer et combattre ces dérives inacceptables.