En août 2024, de nombreux Nigérians se sont rendus dans la rue à travers le pays avec comme mot d’ordre #EndBadGovernance. Ces manifestations pacifiques ont fait l’objet d’une répression inédite et indigne d’un État de droit. Avec Amnesty International, nous dénonçons la répression de syndicalistes et de militants politiques, arrêtés en pleine nuit et détenus sans aucune forme de procès.
Le 1er octobre, un nouveau pallier a été franchi avec la répression des manifestations au gaz lacrymogène et des arrestations arbitraires. Nous demeurons sans nouvelle de 5 manifestants, sans contact avec leur famille ou un avocat, en violation des droits humains.
Députée engagée pour les droits humains, je suis solidaire des prisonniers politiques nigérians et apporte mon soutien aux associations et ONG qui agissent pour faire respecter les libertés publiques dans le pays.