Pensées en ce 17 octobre pour les familles et proches des victimes de la répression violente commise par la police française.
Aujourd’hui encore, l’ampleur de cette répression coloniale et le rencensement complet des victimes n’a toujours pas été réalisé.
Les députés ont voté le 28 mars 2024 pour la création d’une journée nationale de commémoration. Nous attendons une application de ce texte et la mise en place d’un travail de mémoire sur ce crime d’Etat survenu alors que le peuple algérien se battait pour sa libération du joug colonial.