« C’est une copine […] elle sera très aidante. »

« Je n’entretiens pas de relations d’amitié ou d’intérêts avec la personne que vous évoquez. »

Ces 2 déclarations sont d’Aurore Bergé. Mais l’une a été prononcée devant la commission d’enquête sur le business des crèches privées.

C’est pour faire respecter la représentation national que le Bureau de l’Assemblée nationale vient d’accepter d’ouvrir une procédure pour parjure à l’encontre de Mme Bergé. Une décision qui relève de la majorité dont dispose le Nouveau Front populaire au Bureau. Le mensonge n’a pas sa place dans nos travaux : l’Assemblée saisira la justice.

#ParjureBerge